Stress, contrariétés, surmenage. Pour faire face aux cahots du quotidien sans s’affaisser, la capacité de rebondir est une ressourceà cultiver. Petites stratégies pour vivre mieux.
On connaissait la «grande résilience», terme révélé par le neuropsychiatre Boris Cyrulnik : cette capacité de rebond que développe parfois l’être humain après un traumatisme. Mais on découvre aujourd’hui la «petite» résilience, celle du quotidien, qui consiste à mieux traverser les écueils de chaque jour. «Les compétences qui permettent de se relever d’un drame sont les mêmes que celles qui permettent de savourer la journée avec ses joies et ses adversités. Pas besoin d’attendre une catastrophe pour mettre en place ces stratégies qui nous aident à vivre plus sereinement», explique Alexia Michiels, consultante et co-fondatrice du Resilience Institute Europe en Suisse. Ainsi donc, on pourrait entraîner son cerveau et son corps à mieux rebondir. Apprendre, par le biais de quelques exercices, à vivre en instaurant de nouvelles habitudes positives.
Des exemples ? Ils affluent dans l’accessible ouvrage d’Alexia Michiels, L’élan de résilience, qui donne cent clés pratiques pour naviguer à travers les défis du quotidien.